Archives de catégorie : Gouvernement Mondial

Alignement des chefs d’Église au calendrier mondialiste

Je sais pas vous, mais moi il y a quelque chose qui me chiffonne depuis un certain temps : c’est cet alignement, cette soumission, de nos chefs d’Église au calendrier mondialiste, à la mondialisation (qui sanctifie la création au détriment du Créateur, qui remplace les fêtes chrétiennes par un culte aux éléments naturels et aux idées humanistes positives : l’eau, la vie, la différence, la fragilité, l’écologie, la solidarité, le réchauffement climatique, etc.). Je vois par exemple que le Pape François ou le cardinal espagnol Omella se font une obligation de publier un tweet pour la « Journée mondiale de l’eau » et nous rappeler que l’eau est un trésor précieux ; puis le jour suivant, nos responsables ecclésiaux suivent docilement le programme mondial de la « Journée internationale des personnes trisomiques » ; et puis le surlendemain, on a droit au tweet en faveur de la « Journée mondiale contre le réchauffement climatique ». Cette correspondance me gêne. Car ça transforme les représentants d’Église en diplomates, en moutons du Système qui, pour faire bonne figure, répètent le texte bien-pensant qu’on leur demande d’adopter publiquement. Pourtant, vous pensez bien que je n’ai rien, en soi, contre l’objet de leur « lutte » : l’eau, le respect des enfants et des fragiles, les migrants, le climat, la gentillesse (il existe maintenant une « Journée Mondiale de la gentillesse et du sourire », non?), etc., tout ça me paraît très bien. Mais ce ne sont pas Dieu. Pourquoi s’aligner à ce calendrier de l’animisme ou de l’humanisme mondialiste ? Oui, ça me laisse circonspect. Et ça me déçoit.

Les élections nord-américaines


 

Situation terrible (de guerre civile, avouons-le, pour ne pas dire de « guerre mondiale ») aux États-Unis, entre une Franc-Maçonnerie de la franchise justicière (celle de Trump, ce grand malade, au coeur dur, intransigeant et orgueilleux) et une Franc-Maçonnerie du libertarisme (celle de Biden, ce pantin sans charisme, défendant des idéologies tout aussi hors-sol et dangereuses).
 

Et que dire de la déconnection de la réalité chez nos journalistes gauchistes dans les médias mainstream, diabolisant Trump et présentant tout opposant à Biden ou tout électeur de Trump comme un gros « beauf » ou un horrible « complotiste/conspirationiste d’extrême droite » ? Je voyais hier l’émission de France 2 consacrée aux élections nord-américaines, et cette ignorance/ce mépris sincère des journalistes, complètement déconnectés de la réalité, dépendants de la bien-pensance gauchiste, présentant Trump comme l’homme-à-abattre… alors que Biden est tout autant un dictateur que lui, mais dans sa version molle. Tout ça est vraiment effrayant pour notre Monde.

La députée lesbienne Laurence Vanceunbrock-Mialon et ses suiveurs n’ont que l’« hétérosexualité » en bouche pour justifier toutes les lois transhumanistes dites « de bioéthique » qu’ils veulent imposer à la France


 

Au nom d’une part de l’hétérosexualité (ils n’ont que ce mot-là à la bouche, finalement) et d’autre part au nom de l’Égalité (une égalité réelle, en plus, symboliquement parlant, entre hétérosexualité et homosexualité, puisque ce sont bien 2 orientations sexuelles prônant au fond la bisexualité), nos législateurs français sont en train en ce moment non pas de supprimer les pères (comme le prétendent faussement beaucoup de pro-Vie opposés à ladite « PMA – Procréation Médicalement Assistée – pour toutes » et au libre accès à la procréation pour les mères célibataires) mais de les transformer en option dans le processus de procréation et bien souvent d’éducation d’un enfant, et donc de supprimer la primauté du lien d’Amour entre les 2 parents biologiques, primauté pourtant indispensable pour le bonheur de tout être humain. Et cette « optionalisation » des pères engendre, pour ceux qui ne le savent pas, toutes les possibles dérives les plus hallucinantes : l’enfant-objet qu’on conçoit et achète, la justification de la transsexualité puis de l’accès de cette dernière à la procréation (ROPA), les eugénismes en tous genres (GPA – Gestation Pour Autrui -, bébé-médicament, l’embryon transgénique, les chimères animal-homme, l’absence du consentement du conjoint sur le don de gamètes, l’élargissement du diagnostic préimplantatoire aux maladies non héréditaires, etc.).
 

 

En réalité, la pierre angulaire de ces lois transhumanistes dites « de bioéthique », c’est l’hétérosexualité (qui se fait passer pour la différence des sexes afin de se supplanter à celle-ci). Même si personne ne le verra et ne le dénoncera, à part moi. Et le seul moyen de leur faire barrage, c’est de traiter précisément d’hétérosexualité et d’homosexualité, d’abord pour souligner leur égalité réelle, et ensuite pour dénoncer les pratiques aussi bien homos qu’hétéros. Chose que les opposants aux projets de loi ne feront jamais, car ils pensent que « l’homosexualité c’est pas le sujet », que « l’hétérosexualité c’est la différence des sexes », et que « les vrais enjeux c’est l’enfant, la famille et l’Humain ».
 

 

Dépersonnalisation Facebook

Ce qu’a mine de rien réussi Facebook – et finalement tous les réseaux sociaux – c’est à tuer symboliquement l’individualité et la personne, à tuer le don de soi. Très rares sont maintenant les internautes qui disent « je », qui parlent d’eux et en leur nom propre, de leur vie, de leurs pensées intérieures, de leurs soucis du moment, des rencontres qu’ils ont faites, etc.
 

Pour les rares personnes qui montrent un peu de leur réalité et qui ne passent pas leur temps à s’extérioser sur la vie des autres ou à relayer des faits-divers qu’elles n’ont pas vécus, une actualité explosive, elles ont tendance à se cacher derrière une photo (de vacances, d’amis, de leur enfant, de leur chien, de leur assiette ou plat cuisiné), ou une pensée « philosophique » (et même parfois pieuse et sainte) désincarnée. Il n’y a plus de savoir-être : il n’y a que du savoir-faire, de la plainte, des goûts affichés (donc ce qu’il a de plus superficiel et d’extérieur à nous), du silence (donc du voyeurisme et de la contemplation de la vie des autres), de la citation et du plagiat… C’est le règne de la peur et de la dépersonnalisation narcissique. C’est la vie de fantôme ou fantasmée. Je vois très très peu de personnes ici parler avec leur coeur (… à part le chanteur Monis et quelques exceptions), parler de leur vie, écrire des fioretti, être un peu généreux, oser une mise à nu. Témoigner d’une vie incarnée.
 

Et même quand des utilisateurs de Facebook « se risquent » à livrer un peu plus leur jardin secret, ils apposent à leur élan de don d’eux-mêmes – qu’ils nomment pompeusement « défis » – un bout de scotch ou un mutisme obligatoire. Je pense par exemple à toutes ces chaînes de « défis » très en vogue en ce moment sur Facebook où il nous est demandé pendant une semaine de publier les 7 disques ou livres ou films « qui nous ont marqués »… mais attention : il faut afficher « SANS EXPLICATION ». Froidement. En gros, sans personnaliser, sans fournir d’explication ou d’interprétation, sans légende et sans finalement soi-même. C’est effrayant, cette auto-censure, ces singeries de don de soi, cette dépersonnalisation en même temps que cette sommation à ne plus penser, à ne plus s’exprimer personnellement.
 

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle la plupart des profils ne nous nourrissent ni le coeur ni la tête, ne nous élèvent pas, sont impersonnels. On n’a pas envie d’aller les visiter : et on voit leurs publications par accident. On n’a pas envie d’y revenir. Et on se demande même s’ils ne pourraient pas être tenus par une autre personne que celle qui est affichée propriétaire. Moi, personnellement, j’ai peu de profils Facebook que je vais consulter parce que je sais qu’il y aura du don de la personne, une pensée généreuse et questionnante. Globalement, nos profils sont vides, sans relief. Que de la soupe (à la grimace : hilarité, colère, plainte, tristesse, attendrissement…). Toute la palette de l’hystérie narcissique.
 

Au fond, Facebook a perdu son statut de « journal intime » (même s’il en a la prétention, et que ses utilisateurs sont persuadés qu’il est le comble de l’intime, de l’impudeur et de l’exhibitionisme). On ne s’est jamais aussi peu montré et donné que sur Facebook, on ne s’est jamais autant voilé la FACE qu’en se prenant pour un BOOK. On a oublié qu’on était avant tout des personnes avec une vie, des souffrances, des joies, des événements, des personnes réelles.
 

J’avais envie de vous livrer mon impression persistante. Et je précise – parce que maintenant il faut presque le faire ! – que ce billet d’humeur est bien écrit de ma main et n’est pas un copié-collé.

BINGO ! Macron, dans son discours de ce soir, a employé tout le jargon du Gouvernement Mondial !

BINGO ! Macron a sorti ce soir (discours du 13 avril 2020) quasiment tous les mots du lexique du Gouvernement Mondial que j’avais soulignés avec Morgan Priest : fierté, chance, force, amélioration/meilleur, franchise, ligne, bâtir, espoir, unité, etc.
 

 

On dirait qu’il le fait exprès. Mais non.
 

Le Coronavirus, c’est la fête à la Bête, en fait !

En y réfléchissant bien, la crise sanitaire du Coronavirus (vilaine bêbête invisible à l’oeil nu) laisse la part belle à la Bête de l’Apocalypse (dont les supports matériels divinisés sont principalement l’or, l’électricité et le soleil). C’est sa fête. Elle est même mise au-dessus de l’Humain ! Pendant le confinement, les animaux et leurs accompagnateurs sont mieux traités que les Hommes. Et vous allez voir que prochainement, le cours de l’or, la consommation d’électricité et d’Internet, et la course au soleil, vont grimper en flèche.
 

 

 

N.B. : Voir l’article suivant sur la même thématique.

Expo El Greco au Grand Palais : avant-goût du Gouvernement Mondial

De retour de l’exposition El Greco au Grand Palais de Paris. Invité par une amie. Sans faire mon conspi, j’ai vu de manière très marquée dans l’oeuvre du peintre du Siècle d’Or les fondements du Gouvernement Mondial actuel et de la Nouvelle Religion mondiale, fondée sur 4 matérialités prétendument divines : le Feu, l’Or, le Soleil et l’Électricité. D’ailleurs, les tableaux d’El Greco sont des préfigurations des plateaux de théâtre et de cinéma éclairés aux spots. Enfin, un autre détail a piqué ma curiosité : ce sont les titres choisis par les exposants pour illustrer les toiles. Que du jargon franc-maçon : « Orient », « Atelier », « Temple », « Feux », etc. Bref : maintenant, nous baignons même culturellement dans une marmite maçonnique sans même nous en rendre compte.
 

Le mythe de la baisse des retraites et des salaires (expliqué brillamment par Franck Lepage)

Excellent cours d’économie sur les retraites (vidéo de Gaël Tanguy et Franck Lepage qui n’a pas pris une ride), et qui soulève la question de la future imposition mondiale du salaire universel (la puce électro) qui sera présenté comme la grande richesse « répartie » en dehors de tout clivage générationnel ou de classes.
 

 
#RFID #BLOCKCHAIN #RETRAITE

Les gens de droite choisis par Macron


 

Même si personne ne parlera de ce critère et ne l’identifiera (car ça fait trop mal de reconnaître la centralité de l’homosexualité sur l’échiquier politique et mondial), les seules personnes de droite qu’Emmanuel Macron a choisi d’intégrer à son parti fasciste (LREM) et à son Gouvernement sont comme par hasard les trois ministres actuels faisant partie des sept élus de l’UMP à ne pas s’être opposés au « mariage » gay en avril 2013 : Édouard Philippe, Franck Riester et Bruno Le Maire. Des parfaits petits hétéros gays friendly ! Et Franck Riester, ministre de la culture, est homo ouvertement revendiqué.