Archives de catégorie : hétérosexualité

Qui est le capitaliste ?

Le paradoxe, c’est que je me fais taxer de « conservateur » et d’« extrémiste » ou d’« homophobe », parce que je refuse le mariage gay qui est un trafic humain capitaliste visant à singer le couple hétérosexuel bourgeois reproducteur (et au passage, conservateur et homophobe)…

Une amie m’a montré les sites de rencontres hétéros : c’est à pleurer

Une amie m’a montré sur son portable les profils des hommes sur l’application Tinder : c’est à pleurer. Et je ne parle même pas de ceux qui assument de chercher des plans cul, mais bien des annonces des mecs hétéros qui précisément cherchent « du sérieux ». Sans rire, leurs seuls combats et centres d’intérêt dans leur vie, se résument à 4 mots : cinéma / sport / cuisine / voyages. Rien d’autre. Ah si : moto ou bagnole et bière. C’est ça, les activités et les raisons de vivre de 90 % des hommes de 2022. C’est la grosse pitié. C’est le boboïsme dans toute sa splendeur, basé sur la recherche du bien-être et le culte du corps et de la Nature. Zéro spiritualité et zéro croyance en Jésus et au Père Créateur. La totale misère. Je comprends le désarroi des femmes d’aujourd’hui.

La Marque de la Bête sera composée de feuillets de graphène


 

Vraiment très intéressant, cet exposé de Laëticia Marty. Je crois que la Marque de la Bête (sur la main ou le front) sera vraisemblablement composée de feuillets de graphène sensibles à la lumière (électrique, neuronale, solaire…). Ce ne sera pas tant une puce RFID subcutanée, mais plutôt un tatouage adhésif électromagnétique, muni de capteurs et de nanoparticules supraconductrices sensibles aux champs électro-magnétiques, qui épousera « parfaitement » notre ergonomie/physiologie corporelle, et qui n’aura pas de volume, pas d’épaisseur (le graphène est biocompatible! transparent, conducteur et flexible !).
 

Et le plus fou, c’est la phrase de conclusion du « talk » de cette spécialiste du graphène. Elle dit quelque chose qui corrobore complètement ce que je vous ai dévoilé sur les 4 caractéristiques de la Marque de la Bête (1- hétérosexualité ou culte des différences et de la diversité absolue ; 2 – Puce RFID subcutanée animalisée en 666 ; 3 – Référence aux passions ; 4 – Humanisme intégral) lors de la « Soirée Dissidence 3 » : « En nanosciences, la diversité apporte beaucoup de richesses. »

L’opposition à l’hétérosexualité est prophétique et à écouter, à prioriser

J’ai démasqué le diable en découvrant qu’il se fait appeler « Hétérosexualité ».
 

Personne ne me croit (ou alors ceux qui me croient se taisent et ne relaient pas l’info). Mais j’ai démasqué le diable en découvrant qu’il se fait appeler « Hétérosexualité ». Il suffit que vous regardiez le discours haineux et anti-Église-Catholique (quand il n’est pas clairement et ironiquement homosexuel) de certains profils Twitter qui portent la mention de l’hétérosexualité pour vous en convaincre. Oui, vraiment, l’hétérosexualité est le diable déguisé en différence des sexes, autrement dit en sexualité.
 

Ci-dessus, un tweet d’un homme dont le pseudo est comme par hasard @hetero55a, et qui écrit ceci : « François ne représente pas les Catholique, un Hérétique ne peut être Pape, c’est un laïc, il n’est même prêtre, c’est un Anti-Pape, un Franc-Maçon Satanique, ne soyez pas étonné, car Vatican II, est la contre-Église de la fin des temps. »

Voilà ce qui se passe quand on est entouré d’incapables (le cas d’Agnès Thill)

Ce n’est pas faute d’expliquer depuis des années que la confusion entre hétérosexualité et différence des sexes est LE piège, LE principal socle idéologique et LE diable qui unissent les deux camps qui croient s’opposer (…mais qui en réalité n’en forment qu’un) : les gays friendly (défendant les lois pro-gays transhumanistes) et les anti-lois-pro-gays…
 

 

Mais non ! Agnès Thill, la députée conservatrice Agnès Thill, qui dans l’hémicycle s’oppose à raison à la « PMA sans père » et à la GPA (lois extrêmement graves qui vont passer définitivement en France le 29 juin prochain, car elles entérinent l’enfant-objet), mais s’y oppose super mal, n’a que faire de ce que je peux écrire depuis des années. Je lui avais envoyé personnellement mon dernier livre sur la loi des thérapies de conversion : pas de réponse de sa part. Comme la majorité des prêtres, des politiciens, des fidèles catholiques, elle n’écoute pas les personnes homosexuelles, et elle est persuadée qu’elle n’a pas besoin de nous, que nous n’avons rien à lui apprendre. Quel orgueil et quelle suffisance ! Et, du coup, ces lois homicides passent (au nom de l’homosexualité, et à cause de ces incapables qui se croient très capables) sans problème. Il n’y a qu’à entendre le discours de Madame Thill, dans lequel elle valide l’hétérosexualité (en tant que « différence des sexes »), pour voir qu’elle cautionne ce qu’elle dénonce. C’est tout simplement effrayant de bêtise, d’entêtement, de fermeture, et de trahison inconsciente. Et le pire, c’est que les cathos la prennent pour une héroïne et saluent son courage ! C’est à cause de ces incapables que nous perdons tous nos combats.

Retour sur l’Affaire « The Vivi » dans The Voice

Je souhaiterais revenir sur l’Affaire « The Vivi » dans The Voice. Pour faire comprendre que défendre l’hétérosexualité (comme si elle était la différence des sexes), c’est réveiller le diable et ça revient quasiment à se faire socialement, politiquement et artistiquement hara-kiri.
 

Les gens, qu’ils soient gays friendly ou bien carrément ouvertement homophobes, ne se rendent pas compte du pouvoir explosif et impitoyable qu’a le mot « hétérosexualité ». Il a coûté en quelques heures au jeune rappeur Vincent Pois surnommé « The Vivi » sa place à The Voice, alors que ce dernier avait pourtant passé haut la main les auditions à l’aveugle du 20 février 2021. Beaucoup penseront que c’est sa critique de la Gay Pride et du militantisme LGBT qui lui ont valu son éviction du concours (il a repris la chanson d’Orelsan « Suicide social » qui dit ceci : « Adieu ceux qui vivent à travers leur sexualité. Danser sur des chariots, c’est ça votre fierté ? Les Bisounours et leur pouvoir de l’arc-en-ciel qui voudraient me faire croire qu’être hétéro c’est à l’ancienne. Tellement, tellement susceptibles. Pour prouver que t’es pas homophobe, faudra bientôt que tu suces des types. »). Mais en réalité, je crois que ce qui a lancé la chasse aux sorcières contre lui sur Twitter, qui a mis la puce à l’oreille aux téléspectateurs (car elle est la Bête, elle est le diable déguisé en différence des sexes, elle est bien la puce), qui a fait « buzzer » le juré Vianney (regardez à nouveau le moment où il a appuyé : c’est pile sur la phrase sur l’hétérosexualité. Et pour ma part, je me souviens qu’au moment où j’ai entendu la chanson, je n’ai retenu que le terme « hétéro » et pas sur le reste), c’est le mot « hétérosexualité ». Donc oui, que ce soit conscient ou non, ce terme – ou plutôt le fait qu’il soit pris pour la différence des sexes – met le feu aux poudres. Cet amalgame est vraiment de la nitroglycérine. C’est, symboliquement parlant, se mettre à mort. C’est se faire hara-kiri politiquement (C’est d’ailleurs ça qui avait flingué le retour politique de Sarkozy : il avait proposé de créer un « mariage hétéro »). Nos contemporains, et les catholiques en particulier, ne se méfient pas assez de ce « détail » qu’est la confusion puis la caution entre « différence des sexes » et « hétérosexualité ». Elle est redoutable, impressionnante, impitoyable, « fatale ».
 

Toutes les Miss France sont SOCIABLES !

Alors apparemment, c’est le nouveau mot d’ordre des Miss France cette année : elles sont toutes « SOCIABLES » 🤣 Il faut être SOCIABLE !
 




 

Alors bien sûr : il y a d’autres adjectifs qu’elles répètent en boucle et qui appartiennent à la Bête de l’Apocalypse, comme par exemple « Curieuse », « Déterminée », « Naturelle », etc. Mais la grande nouveauté cette année, c’est que les prétendantes au titre de Miss France, comme la Bête, sont en mode guerrières (beaucoup portent des chaussures « Ranjos » ou des Doc Martens), et en plus tirent la langue (3 d’entre elles). La « classe »…

Même l’Hétéro indien…


 

Quand je vous dis que l’hétérosexualité (autrement dit le culte de l’Autre, de l’altérité, de l’altruisme, de la différence) c’est le diable (déguisé en différence des sexes, en solidarité, en solution, en Divinité), c’est pas des conneries. La preuve : en Inde, le groupe pharmaceutique qui porte la vaccination anti-COVID19 dans le pays et au-delà de ses frontières, et qui est l’un des principaux fabricants mondials de médicaments génériques, s’appelle… « Hetero ».

La série Astrid et Raphaëlle a-t-elle des actions chez COFIDIS?

Vous savez sans doute que lorsqu’un culte aveugle et excessif est rendu à la différence, mes oreilles s’aiguisent parce que je sais que l’hétérosexualité (donc la Bête, ou l’Autre – qui est l’autre nom du diable) n’est pas loin. La Nouvelle Religion mondiale, pour gommer la différence des sexes et la différence Créateur/créatures qui font de nous des Humains divins comme Jésus, se met à célébrer la Différence absolu comme le summum du Bien, dans un altruisme apparemment touchant et solidaire, mais qui en réalité menace l’humain, car le Tout Autre est monstrueux autant qu’angélique.
 

Cette différençolâtrie, je l’observe dans pas mal de séries et films actuels voulant instaurer une police anti-discriminations autant qu’une confusion généralisée où les différences et les mélanges sont tellement applaudis que les différences réelles finissent par être d’abord alignées puis niées, étant donné que la différence la vraie est perçue au bout du compte comme discriminante et trop personnelle. C’est le cas dans la série Astrid et Raphaëlle diffusée récemment sur France 2, qui est un concentré de Franc-Maçonnerie (c.f. mon article « Journal de l’Antéchrist et de la Bête de l’Apocalypse en temps de confinement COVID-19 »), et qui met sur un piédestal la différence.
 

Pour votre information, Baal est un des synonymes de « Satan » ; et par ailleurs, seul Dieu a le pouvoir de « faire la différence ».


 

Tout à l’heure, j’ai regardé deux épisodes inédits : « La Nuit du mort-vivant » et « Invisible ». Et mon attention s’est arrêtée sur un détail répétitif du décor qui apparaissait dans d’autres épisodes antérieurs de la série. Comme une sorte de matraquage imperceptible ou de messages subliminaux insistants pour que la différençolâtrie finisse par nous rentrer dans le crâne : ce détail, c’est la publicité pour la banque de prêts COFIDIS (vous savez, le genre de société véreuse qui endette les gens sans argent et qui se présente comme leur soleil). L’affiche de COFIDIS apparaît clairement dans 2 épisodes de Astrid et Raphaëlle : l’épisode 5 (« L’esprit de famille ») et l’épisode 7 (« La Nuit du mort-vivant »). Peut-être que ça se vérifiera pour les épisodes à venir.
 

Astrid sur un parking, dans l’épisode 5


Raphaëlle et Astrid regagnant leur voiture, dans l’épisode 7


 

Je vous invite donc à l’avenir, si vous regardez des épisodes de cette série, à faire particulièrement gaffe à la place laissée à la différence et à l’Autre. Car elle est grande. Par exemple, dans l’épisode 5 de la saison 1 (« L’esprit de famille »), William, le modérateur du groupe de parole des personnes autistes, déclare : « Qu’est-ce que l’Autre représente pour moi ? » Dans l’épisode 7 (« Invisible »), Raphaëlle, « neurotypique » (autrement dit « pas autiste ») essaie de rentrer dans la manière génialement étrange et codée de sa coéquipière Asperger Astrid : « Il faut que je pense comme Astrid. Regarder autrement. Regarder autrement. » Un peu plus tard, Esteban Acega, le psychopathe de l’histoire, s’approche d’Astrid et se reconnaît dans leur supposée singularité mutuelle : « Nous nous ressemblons tellement tous les deux : tellement brillants, tellement différents des autres… » Le fantasme de l’altérité est donc bien luciférien, hétérosexuel (au sens de « toutes les altérités au niveau de la sexualité ») et pathologique. Quand bien même il soit porté aussi par une héroïne gentille et autiste « gentille ». Enfin, lors des bandes-annonces de la série, la voix-off de France 2 en remet une couche sur l’absolutisation de la différence : « Astrid et Raphaëlle : ce duo d’enquêtrices vraiment différent. »