Archives de catégorie : sexualité

Honte à l’Argentine

Ceux qui applaudissent éhontément à l’avortement en Argentine, au nom des supposés « droits de la femme », ne sont pas dignes d’être mes amis. Le meurtre d’innocents n’est une « victoire historique » pour personne, et encore moins pour les femmes. Honte aux assassins et à ceux qui les ovationnent. Honte à l’Argentine.

Sympa, la rentrée littéraire…

Sympa, la rentrée littéraire…
 

 

 

Le 2 octobre sort Omerta de Sophie Lebrun sur la pédophilie dans l’Église ; le 9 octobre, c’est au tour de Dieu est amour de Timothée de Rauglaudre, sur les thérapies de conversion de l’homosexualité. Les anticléricaux parlent d’homosexualité à la place des cathos et sur les catholiques, puisque les catholiques ne veulent pas en parler et leur laissent le champ libre… Logique.

Café-Philo hebdomadaire

 

J’aime beaucoup me rendre au Café-Philo des débats du « Je dis » tous les mardis, animé par Michel et Martine, rue des Écoles. Il fait bon de parler de n’importe quel sujet en s’écoutant les uns les autres, en apprenant et explorant plein de choses. C’est vraiment un rendez-vous hebdomadaire qui m’enchante. Immanquable.

Pédophilie cachée par l’éphébophilie

Vincent-Rouyer

“Les socialistes veulent la majorité sexuelle à 14 ans. Les vieux démons soixante-huitards reviennent par la fenêtre après avoir été chassés par la porte : la légalisation en douceur de la pédophilie en commençant par l’éphébophilie. Triste et hypocrite société qui ne cesse de s’indigner des turpitudes qu’elle s’ingénie à favoriser.”

Vincent Rouyer

Les opposants à la GPA jouent le jeu des pro

Documentaire « Deux hommes et un couffin » de l’émission 13h15 le dimanche diffusé sur la chaîne France 2 le 26 juillet 2015

Documentaire « Deux hommes et un couffin » de l’émission 13h15 le dimanche diffusé sur la chaîne France 2 le 26 juillet 2015


 

Les opposants à la GPA (Gestation Pour Autrui) portent une lourde responsabilité dans la pratique commerciale qu’ils dénoncent, vu qu’ils sont très rares à nommer le crime majeur de la GPA, à savoir la destruction de l’amour entre les deux parents biologiques (homme et femme) d’un enfant. À l’instar des promoteurs de la GPA, dans leur argumentaire d’opposition, ils ne se focalisent en général que sur la nécessité de la présence des deux parents biologiques (présence qui n’est pas une garantie de bonheur), sur la nécessité pour un enfant d’être élevé par son père de sang et sa mère de sang (critère qui n’est pas une garantie de bonheur), sur l’amour et l’éducation que chaque géniteur – à ne pas confondre avec l’éducateur – doit porter à un enfant (critère qui n’est pas une garantie de bonheur), sur le caractère financier et technique de la création de bébés hors de la Nature et de la différence des sexes couronnée par l’amour, voire carrément sur l’hystérisation autour du mot « marchandise » ou « GPA » (qui n’explique rien). Je supporte mal de les voir se victimiser. La question existentielle que tout être humain se pose, c’est : « De quel amour dans la différence des sexes suis-je issu ? » Ceux qui condamnent la pratique de la GPA semblent l’avoir oublié tout autant que les défenseurs de la GPA.

LA FIN DU MONDE EST PROCHE ET EST INDIQUÉE PAR LA JUSTIFICATION MONDIALE CROISSANTE DE L’HOMOSEXUALITÉ : ALORS CONVERTISSONS-NOUS SANS TARDER

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Parce que l’Histoire humaine et la Bible le montrent largement – Sodome et Gomorrhe, la civilisation gréco-romaine, la civilisation nazie (rien qu’en 1933, on comptait 131 bars homos à Berlin, plus qu’aujourd’hui à Paris), etc. –, parce que les spécialistes commencent également à l’annoncer et à tirer la sonnette d’alarme, je peux me permettre maintenant de le dire sérieusement aussi : la pratique homosexuelle, s’attaquant au socle universel d’existence et d’amour humain qu’est la différence des sexes, pratique de plus en plus justifiée socialement sous forme d’« amour » et de loi (inter)nationale, est un symptôme fort de décadence civilisationnelle. Elle est l’indice symbolique concret que notre monde se ment à lui-même, que la fin du monde est proche. L’arc-en-ciel a toujours annoncé et précédé l’orage. Et j’ai largement étudié dans mes écrits les liens non-causaux réels entre désir homosexuel et conflit mondiaux, entre désir homosexuel et Apocalypse (cf. ces quatre codes : 1, 2, 3 et 4). Donc nul catastrophisme ni théâtralité de ma part dans ce simple rappel eschatologique. Juste un constat. Banaliser socialement voire éloigner et éradiquer la différence des sexes de notre quotidien, cela revient à banaliser toute l’Humanité et à détruire notre planète à plus ou moins long terme (et je ne me réfère même pas à une mort démographique, car celle-ci ne risque pas d’arriver).
 

Au passage, constater que la justification collective de l’homosexualité constitue un indice capital d’autodestruction d’un monde ne stigmatise absolument pas les personnes marquées d’homosexualité durable. Un signe n’a jamais été une cause. Un baromètre indique les tendances : il ne les crée pas. Et ce n’est pas la pratique homo ni sa banalisation/justification/diabolisation mondiale qui précipite directement le monde vers son autodestruction finale. En revanche, le désir que portent les personnes durablement homosexuelles est un voyant rose important, une contraction pré-natale très significative, car elle nous indique que la fin d’un monde et le début d’un autre sont en marche, sont proches, très proches.
 

Loin de nous attrister ou de nous paniquer, la déconstruction et le démembrement social qu’impose l’idéologie pro-gay à de plus en plus de continents et à de sphères politico-médiatiques, doivent nous maintenir en veille et nous réjouir. D’une part pour notre monde : ça veut dire que Jésus n’est pas loin de revenir nous chercher, d’apparaître dans le Ciel, donc c’est le moment de se convertir, de se faire tout beau pour lui, de devenir irréprochable, de se préparer au martyr et au témoignage, de se lancer dans des grands projets tout donnés à Jésus et aux autres, de partir appeler les ouvriers de la dernière heure, car le temps qu’il nous reste nous est compté. D’autre part c’est réjouissant pour les personnes homosexuelles elles-mêmes : le fait qu’elles portent – par cette orientation sexuelle qui leur colle parfois à la peau – un vrai indicateur de cataclysme mondial les place d’emblée dans un rôle d’évangélisateurs de premier plan, de Jean-Baptiste, de rassembleurs chargés d’appeler avec insistance à la conversion des cœurs. Superbe rôle pour tout le monde et pour tous ceux qui comprennent sans ricaner et sans se révolter que la banalisation mondiale de l’homosexualité indique une précipitation collective vers la Troisième Guerre mondiale, un stade avancé de la décadence universelle, une fin inéluctable.
 

Alors préparons-nous. Calmement et hâtivement. Dans le jeun, la prière et l’annonce de l’Évangile. Ne tardons pas à changer notre cœur, à aller nous confesser régulièrement auprès des prêtres, à faire pénitence, à rester centré sur la Vierge, à vivre plus modestement et plus chastement. Rappelons aussi aux personnes homosexuelles leur belle et paradoxale responsabilité. D’annonciatrices de mort qu’elles semblent être, elles peuvent, en ne pratiquant pas leur homosexualité mais en la donnant aux autres et à Dieu, devenir des sauveteurs inattendus et puissants, des contrôleurs techniques de l’Arche de Noé, aux côtés des personnes non-homosexuelles, prendre le rôle de pêcheurs d’Hommes juste avant l’arrivée du tsunami fatal. Que ceux qui ont des oreilles entendent.

Le droit avant la Personne qu’il est censé servir

Le drame des militants pro-gays, c’est que pour eux, les droits qu’ils demandent passent avant les personnes humaines qu’ils sont censés servir. Ils sont pour les droits mais pas pour les Droits de l’Homme. Obsession légaliste. Ils se fichent des personnes homos et leur préfèrent les droits qui passent en leur nom. Je vous le dis : il n’y a pas plus homophobes que ces militants-là.
 

Tweet échangé le 11 novembre 2014 à propos de mon intervention aux Veilleurs de Paris (Sorbonne)

Tweet échangé le 11 novembre 2014 à propos de mon intervention aux Veilleurs de Paris (Sorbonne)

Réaction aux propos du père Guggenheim sur l’homosexualité

Réaction aux propos du père Antoine Guggenheim dans le Journal La Croix.
 

Première erreur, le mariage n’est pas une institution hétérosexuelle, c’est une institution humaine. Deuxième erreur, un amour authentique entre deux personnes de même sexe, cela s’appelle simplement l’amitié. Troisième erreur et non la moindre, si l’acte homosexuel est un agir objectivement mauvais, il ne peut être le lieu d’une croissance de la personne. Il faut bien voir qu’il n’est pas mauvais parce que contraire à la loi morale, ou parce qu’interdit. Il est mauvais parce qu’il porte atteinte à un bien, qui est le bien de la personne. Il n’a donc pas à être régulé, de même que l’amateur de pornographie, même compulsif ou addictif, n’a pas à réguler son agir mais à s’en détourner. Une tendance, lorsqu’elle est mauvaise doit être réprimée par celui qui la reconnaît telle, et c’est alors le renoncement à l’assouvir qui, moralement, s’impose. Et si la volonté est submergée par la tendance, alors il est évident que cela ne rend pas la volonté bonne.