Archives de catégorie : Gouvernement Mondial

Les nations exclues de l’Eurovision


 

On nous l’annonce comme une « grande nouvelle » (alors que c’est hyper inquiétant symboliquement et spatialement parlant, étant donné que les frontières nationales des peuples sont abolies au profit de l’individualisme de masse) : le concours Eurovision de la chanson sera en 2023 soumis intégralement au vote du public « Citoyens du Monde », et non plus à celui des comités d’experts artistiques nationaux.
 

Concrètement, ça veut dire quoi ? Que l’Europe devient, comme l’avait prophétisé Soloviev, les « États-Unis d’Europe » : une sorte de continent-Monde multinational où chaque nation n’existe plus que pour le folklore (le pain et les jeux : chanson + foot. Le reste – la langue territoriale, les monuments, les chefs d’État, les institutions locales, le pouvoir décisionnel d’équipe, la Foi… – est effacé, au profit de l’individu digitalisé invisible et artificiellement mondialisé). Chaque État est désaisi de sa souveraineté nationale, de ses institutions décisionnaires. On n’a plus droit qu’à des grands ensembles « géographiques » de pouvoir, liquides et flous : en gros, les 10 royautés artificielles de la Fin des Temps décrites par saint Jean dans le livre de l’Apocalypse. Et les médias mainstream (même CNews) ne s’alarment pas de cette horreur qu’est la démocratie.

Panmongolisme : la Nouvelle Religion mondiale que personne n’identifie ou que tout le monde trouve mignonne. Le cas du film coréen « Jiburo » de Jee Jeong-Hyang


 

Hier soir, avec deux amis, sur invitation, je me suis rendu à la projection (top bobo, comme sortie : désolé…) d’un film coréen qui a apparemment été un succès au box-office en 2002, « Jiburo » de Jee Jeong-Hyang, avec un débat à l’issue de celle-ci, au Centre Culturel Coréen de Paris.
 

Le synopsis est assez simple : Sang-Woo, un gamin de 7 ans originaire de Séoul, capricieux et abreuvé de jeux vidéo, passe un temps de vacances à la campagne chez sa grand-mère muette, et y apprend « la vie ». Ce film est présenté comme une humanisation/éducation de l’être humain par la Nature, sur fond de rencontre improbable entre deux générations que tout semble opposer.
 

Je ne discuterai pas de la qualité de ce film petit budget et cousu de fil blanc. Mais ce qui m’intéresse, c’est l’idéologie/spiritualité qu’il y a derrière. Même s’il est daté (20 ans, ce n’est pas rien), il nous dit véritablement ce qu’est la Nouvelle Religion mondiale qui s’impose aujourd’hui dans tous les cœurs et les consciences, à savoir le « panmongolisme » dont parlait déjà Soloviev mais aussi Michael O’Brien : cette cosmovision venue de l’Orient (ça, ça plaît à toutes les loges francs-maçonnes !) asiatique où la Justice n’est plus ni humaine ni divine (au sens christique) mais vient uniquement de la Nature, des circonstances, des événements et donc d’une forme de « Destin » fatal « ni bon ni mauvais » (le fameux « équilibre » moniste entre « le Yin et le Yang », qui viendrait contrecarrer le « manichéisme judéo-chrétien », et pour lequel le bien et le mal n’existerait pas). La Chine, le Japon, la Corée, et les pays asiatiques communistes et déchristianisés en général, tentent de remplacer l’air de rien Jésus par cette Nouvelle Religion New-Age antéchristique. Et apparemment, ça marche bien. Hier soir, la salle était emballée et attendrie. Moi, atterré.
 

Dans ce film, globalement, les Humains, en cas d’injustice ou de maltraitance (le jeune héros passe son temps à mépriser sa grand-mère et à lui désobéir, à taper aussi sa maman), ne s’éduquent pas entre eux, ne se reprochent rien, ne se vengent ni ne se pardonnent, ne se révoltent pas, ne dialoguent pas, ne se corrigent pas et ne se rendent pas justice. C’est uniquement la Nature et les événements qui font Justice (je pense par exemple à la pluie qui « sert de leçon » à Sang-Woo et le tire de sa paresse de ne pas avoir ramassé le linge à sécher à temps ; je pense à la santé et à la maladie qui lui apprennent à manger plus équilibré ; je pense à la vache folle qui le punit en le coursant ; je pense à la faim qui le pousse à manger le poulet apporté par sa grand-mère au lieu que celle-ci le lui ait demandé en le forçant avec autorité ; etc.). Et les Humains sont leurs objets. C’est la totale impunité pour eux d’un point de vue humain. Ils ne sont quasiment pas dotés de parole, d’autorité, de liberté, de sagesse, de pédagogie. Le gamin est odieux ? Personne ne lui dira rien ! : c’est la Nature et les événements qui se chargeront d’éduquer le jeune Mowgli urbain (c.f. la scène où Sang-Woo tombe amoureux ressemble à s’y méprendre à celle du « Livre de la Jungle » de Disney, d’ailleurs). La Tradition naturaliste dompte la Civilisation humaine : c’est le Monde à l’envers. C’est « Sainte Nature », « Saint Paysage », « Saint Silence » (puisque la Nature ne parle pas : atrophie totale du langage), « Saint Destin » ! L’Humain, en revanche, est déchu de sa sainteté.
 

Et bien sûr, derrière toute cette idéologie panmongoliste verte se cache une misanthropie (haine des Humains), en particulier misandre et parricide (les pères sont totalement absents, les gamins sont des petits machos : on retrouve l’enfant-roi mâle et le machisme intrinsèque aux civilisations asiatiques communistes), mais aussi un féminin sacré asexué (On nous rappelle que les hommes sont moins nombreux sur Terre que les femmes ; ou bien que la sagesse vient des femmes ; les gamins du film sont tous asexués ; dans le générique final, la réalisatrice écrit que « son film est dédié à toutes les grands-mères maternelles »… même si, concrètement et symboliquement, elles sont maltraitées et traitées comme des chiennes à l’écran).
 

Mais bon, ce qui m’a le plus scié, ce n’est pas uniquement les messages de ce film indigent célébré comme un « chef d’œuvre ». C’est surtout l’« analyse » scolaire de l’experte coréenne qui l’a commenté après la projection (degré zéro de l’esprit critique : « C’est un film magnifique, la rencontre entre deux mondes » ; elle a même présenté l’éducation « positive » et totalement soumise de la grand-mère comme de « l’Amour inconditionnel ») et l’abrutissement/soumission général chez les spectateurs (apparemment conquis et ne trouvant rien à redire). Je me suis senti en total décalage. Les gens ne savent plus réfléchir. Mais vraiment. Ils ne savent plus identifier le mal, s’insurger contre le processus de leur déshumanisation par la « Nature », et encore moins reconnaître le Bien (Jésus) et le défendre. Je me suis évidemment gardé de relever devant eux le chiffre de la Bête (Ap 13, 17), le 666, que j’ai aperçu dans le film (À trois reprises, le bus « n°6 » apparaît à l’écran) : je serais vraiment passé pour un taré. Mais j’ai au moins pu débriefer en toute liberté avec mes deux amis à la sortie, pour leur expliquer combien le panmongolisme (la Nouvelle Religion mondiale de la Bête antéchristique) avait envahi le Monde actuel.

Le chocolat c’est raciste

En même temps que j’ai remarqué actuellement (du moins en France et dans les pays occidentaux) qu’il y avait des Noirs à toutes les pubs (en mode « racisme positif » ou « racisme anti-Blancs » pour montrer un colonialisme esclavagiste inversé : le Noir est forcément le gentil, le rigolo, mais aussi le nouveau maître du méchant et stupide Blanc. C.f. pub Subway), le plus drôle en même temps qu’affligeant, c’est que les seules pubs où ils n’apparaissent pas, ce sont les pubs de chocolat (en particulier quand il s’agit des pubs « métissage » bicoloré chocolat noir/chocolat blanc).
 

Exemples de pubs :
 
Nutella
Kinder Duo
Milka Tuc
Milky et Shocki
Kellog’s
Poulain
Kinder Bueno
Kinder Bueno
Kindr Bueno Ferrero (avec le Noir, à la fin, qui réclame la version chocolatière blanche !)
Ferrero
Délichoc
 

Reflux du pseudo « traumatisme Banania » : Nous sommes arrivés mondialement à un tel degré de schizophrénie et de crétinerie que nos publicistes sont non seulement persuadés que le chocolat serait « raciste » (vraiment ils le croient! Alors qu’il y a encore 10 ans, ce n’était pas encore le cas:) mais aussi (plus inquiétant) que les Noirs seraient du chocolat, des êtres de chocolat ou d’ébène mais pas des êtres vivants et humains comme les Blancs.
 

On est évidemment loin des imitations (certes potaches mais sympathiques) de Michel Leeb ou encore de Pascal Légitimus (dans le trio des Inconnus). Finies l’insouciance et la taquinerie. Place à la susceptibilité, à la paranoïa et à l’idolâtrie justicière et réifiante hypocrite (mettre quelques Noirs objétisés sur le devant de la scène pour mieux écarter les vrais Noirs dans la réalité et réinstaurer un nouvel apartheid ou néo-esclavagisme : dans les hôpitaux, supermarchés, maintenance, surveillance, nettoyage, boulots subalternes). « Vous serez nos esclaves sur le terrain puisque vous êtes nos rois sur les écrans ! 1 Omar Sy pour 10 manutentionnaires chez PAUL baguette française traditionnelle ! »
 

Donc tenez-ne-vous pour dit, chers citoyens, quand vous regardez les pubs à la télé ou vous vous baladez dans la rue et regardez les affiches publicitaires : pour nos publicistes et le Gouvernement Mondial, « le chocolat c’est raciste » (et donc « les Noirs sont des objets et sont bons/consommables comme du chocolat »).

Pourquoi il est important de regarder la série Astrid et Raphaëlle


 

Il est très utile, pour comprendre la Marque de la Bête de l’Apocalypse et le fonctionnement de la Franc-Maçonnerie, de s’intéresser à la série Astrid et Raphaëlle. Encore ce soir, dans l’épisode « En souterrain » (épisode 8 de la saison 3), c’était un festival : « Trouve le loup. Et tu sauras la Vérité. » (Astrid répétant robotiquement comme un mantra le message testamentaire de son père décédé). Et le loup en question se trouve être effectivement une marque, une franchise de matériau de construction.
 

Par ailleurs, à peine sortie sur Netflix, la série Dahmer fait apparemment un malheur. le paradoxe de l’homophobie des gays friendly, c’est que même quand ils vont traiter du lien (évident et factuel dans le cas de Dahmer) entre viol et homosexualité, ils trouveront le moyen de ne jamais évoquer le sujet de l’homosexualité, de ne jamais employer le mot, pour innocenter celle-ci. Vu que, à leurs yeux, cette association entre homosexualité et souffrance/violence/crime est « l’homophobie » ! Quelle schizophrénie ! Je vous mets au défi de me trouver une seule publicité de Dahmer qui dévoilerait explicitement l’homosexualité de ce serial-killer homophobe (qui d’ailleurs ne s’attaquait quasiment qu’aux Noirs homosexuels) : vous allez galérer !

Chiffres officiels des effets secondaires du pseudo « vaccin » anti-COVID aux États-Unis

 

Non non, le « vaccin » anti-COVID n’est PAS DU TOUT un poison déguisé en remède, n’a que des effets secondaires « secondaires » et marginaux, et n’est pas une tentative de stérilisation et de génocide à échelle mondiale. PAS DU TOUT. Et ceux qui, comme moi, ont refusé cette merde, sont des dangereux et contagieux « complotistes » responsables de la « pandémie ». HAHA.
 

Voici les données gouvernementales (officielles! Lien 1 ; Lien 2) actuelles post injections COVID aux USA, avec tout de même (en moins de 2 ans) :
 
30 479 DÉCÈS.
203 792 visites chez le Médecin.
4 963 fausses couches
8 915 Thrombocytopénie/faible taux de plaquettes
174 371 hospitalisations
9 958 anaphylaxie
16 337 crises cardiaques
33 705 vie en danger
134 245 soins URGENTS
15 928 paralysie de bell
51 722 Myocardite/Péricardite
44 510 Réaction allergique sévère
56 994 handicapés permanents
14 539 zona
 

Merci le Connard ( = Macron). Merci à tous les hypocondriaques-flics et à la stigmatisation sociale qu’ont exercé 80% des Français sur les non « vaccinés ». Bravo à vous ! En temps de nazisme, je ne me demande même pas dans quel camp vous vous seriez rangés…

Merde alors !


 

L’air de rien, notre Monde est petit à petit en train de nier la MERDE, c’est-à-dire la mort, le mal, les fautes, la colère, les péchés, la violence, la souffrance, la vieillesse, le handicap, les guerres, dans nos vies. Attitude kitsch par excellence : Milan Kundera écrivait, dans L’Insoutenable légèreté de l’être, que « le kitsch est le paravent qui dissimule la merde ».
 

Je regarde cet extrait de Florence Foresti imitant Adjani, et je constate que la police puritaine des réseaux sociaux a discrètement gommé le moment où elle prononce le mot « merde » (c.f. le remake du « Père Noël est une ordure »). Les gros mots, et même les insultes, qui nous inscrivent malgré tout dans notre Humanité (pécheresse), sont de plus en plus supprimés par le Gouvernement Mondial et par la Bête antéchristique qui souhaite en garder le monopole (Dans le livre de l’Apocalypse, il est dit que la Bête portera seule des couronnes, des sceptres et des titres blasphématoires : le reste du Monde sera réduit à l’esclavage policé et aseptisé de la « paix », de l’ « équilibre » et de la « sécurité ».)
 

Merde alors!
 
 
 

N.B. : Voici la version en un peu moins censurée.

Le discours (nazi) d’investiture du Connard hier soir


 

Mots de conclusion du discours d’investiture du Connard hier soir : « Chacun d’entre nous compte plus que lui-même. »
 

Si ce n’est pas la phrase la plus communiste et la plus nazie qui soit, qu’est-ce que c’est? (Et c’est un expert des fascismes comme moi, qui a étudié le nazisme depuis 20 ans, qui vous le dit). #MacronDictateur
 

N.B. : Le Connard s’appuie beaucoup également sur la notion maçonnique de « Force » et d’« Unité. » que vous retrouvez dans mon Dictionnaire des Codes Apocalyptiques (et je vous renvoie en particulier au code « Vous »).

Donc selon certains, Macron « n’est pas arrogant »…


 

Ceux qui ne voient même pas que Macron a été arrogant lors du débat présidentiel… euh, comment vous dire?… Je trouve ça vraiment problématique. Vous êtes prisonniers d’une naïveté (gauchiste et bobo) consistant à diaboliser ce qui médiatiquement vous est désigné comme « extrême » (et en particulier « extrême-droite »)… comme si Macron n’était pas à sa manière « extrême ». Ça me freine et me déçoit, ce dressage d’aveuglés (qui ne souffrent même pas le dialogue et l’explication : certains d’entre vous me soutenez que « ce qui est extrême ne se discute pas »), ce simplisme manichéen suiveur (« Le mal c’est l’extrême. Et celui qui se présente comme l’ennemi des extrêmes, c’est le Gentil. » = raisonnement stupide, puisque même Hitler, en son temps, s’est présenté comme « ennemi des extrêmes » ! Nos contemporains ont vraiment la mémoire courte…), cet assujettissement à la pensée commune (« Au mot ‘extrême’ tu aboieras. »). Et pourtant, je suis de gauche, je ne voterai pas Marine, et suis en ce moment entouré de musulmans, d’étrangers et de pauvres. Mais je trouve votre simplisme idéologique peu subtil et peu courageux. Ça ne me séduit pas. Le macronisme (pour ceux qui, comme moi, étudient depuis longtemps les fascismes et le nazisme historique) est une dictature néo-communiste ET néo-nazie (car Macron entend numériser toute vie humaine)… sauf qu’à la différence du nazisme (littéralement « national-socialisme »), il est un « international-socialisme » passant par la case internationaliste de « l’Europe ». Autant j’ai vraiment du mal à m’entendre avec des militants de droite (et à plus forte raison, d’extrême droite : lepénistes, zemmouriens), autant il m’apparaît presqu’impossible d’être compris des gauchistes (et, s’ils sont macronistes, des gens d’extrême « gauche »). Je suis trop attaché aux pauvres et à Jésus. Qu’est-ce que vous feriez si vos amis soutenaient le « vaccin », les mesures sanitaires totalitaristes, et trouvaient Macron « gentil » alors que c’est à l’évidence un pion des Big Pharma, des Big Data et du Gouvernement Mondial ? Si Vous lisez un peu l’Histoire, vous verrez qu’aucune dictature ne s’est avancée sans se présenter comme ennemie d’un « extrême ». C’est vieux comme le Monde. Et on est tous l’extrémiste de quelqu’un.

Le prochain épouvantail pour imposer l’identité numérique : la FAMINE


 

Pour nous imposer l’identité numérique (Marque de la Bête), la prochaine « menace » et légende – beaucoup plus corsée et dissuasive que le Coronavirus – que le Gouvernement Mondial dirigé par l’Antéchrist va brandir, c’est vraisemblablement la famine. « Attention : si vous ne vous faites pas pucer, vous ne pourrez plus accéder à votre nourriture ni aux points de vente ; vous ne pourrez rien récolter ni rien produire ni rien conserver ni rien acheter/vendre ; vous allez manquer du minimum nécessaire ; bref, si vous ne vous soumettez pas au numérique, vous crèverez la dalle ! » Concrètement, c’est faux. On n’a pas besoin d’électricité ni d’or pour s’alimenter. Mais cette peur de connaître la faim risque d’être beaucoup plus efficace (images de population réellement famélique et mise à terre au Yémen) qu’un virus qui ne touche qu’une infime partie de la population et que nos besoins secondaires. Vous allez voir la mise en scène, le scénario, the next BIG STEP : la Famine (épuisement des réserves). N’y croyez pas (même si, effectivement, les maîtres cachés du Monde vont provoquer des famines réelles). J’ai écrit ce mot pour dire que ces famines – même si certaines sont réelles – sont des légendes pour dissuader de se faire pucer. Il ne faut pas les croire vraies.

La contrefaçon de l’identité numérique illustrée par une fan de Garou

Cette fan de Garou illustre exactement l’illusion – que vont donner au Monde la 5G et notre identité numérique – de nous connaître mieux que nous-mêmes. Ici, le chanteur est complètement dépassé par son portrait, et même son passé : sa fan connaît en apparence tous ses goûts, souvenirs, faits et gestes, habitus… comme un algorithme prédictif et « visionnaire ». Bien sûr, c’est une illusion d’omniscience et d’omnignose, car concrètement la machine et l’Humain dressée par elle ne pourront jamais accéder au coeur des Hommes et de ses intentions. Autrement dit, la fan de Garou ne pourra jamais sonder le coeur et les reins de son idole… Mais pourtant, d’un point de vue blockchainien et temporairement antéchristique, la partie est perdue pour l’individu ; le Monde aura l’impression que notre identifiant numérique (et donc l’I.A. : « Intelligence Artificielle ») aura largement remporté la bataille de la possession de notre réalité, sur notre personne, sur notre âme et même sur Dieu. Ici, dans le match de l’appartenance à soi-même et de la connaissance de soi, Garou est littéralement mis K.O. Sa vie ne semble plus lui appartenir. Elle lui échapperait. Usurpation et hold-up apparemment « total-e ».