Qui est le capitaliste ?

Le paradoxe, c’est que je me fais taxer de « conservateur » et d’« extrémiste » ou d’« homophobe », parce que je refuse le mariage gay qui est un trafic humain capitaliste visant à singer le couple hétérosexuel bourgeois reproducteur (et au passage, conservateur et homophobe)…

La gauche que j’aime existe, mais en Jésus

Les gens de la gauche que j’aime n’existent pas (à savoir la gauche chrétienne). Pour moi, aujourd’hui, la gauche n’est plus la gauche, car elle a lâché le Christ.
 

Et les anti-gauche qui ne sont pas d’accord avec mon affirmation dissocient la gauche de Jésus, et la confondent (à tort) avec le gauchisme, la gauche caviar, le socialisme, le communisme, le marxisme.

Le Hamas n’est pas « l’État Islamique » : c’est nous !


 

Hallucinante, la propagande actuelle (sur les réseaux sociaux, les espaces publicitaires de YouTube, etc.) pour nous persuader, nous Occidentaux, que le Hamas c’est le diable, le retour de la pieuvre démoniaque « État Islamique » qui « tue des enfants », l’Ennemi Mondial à abattre et contre lequel il faudrait tous s’unir (aux côtés d’Israël). HAMAS = ISIS.
 

Euh… je rappelle à toutes fins utiles qu’on assiste en direct à un génocide palestinien orchestré par Israël, l’Europe et les États-Unis (2,3 millions de vies sont assassinées, délogées de la bande de Gaza), mais aussi que le Hamas, à la base, a été fondé par les services secrets israéliens et nord-américains pour lutter contre Yasser Arafat. Donc, en gros, « l’État Islamique » ou le « Hamas » en question, qu’il faudrait éradiquer, c’est juste l’Occident ; c’est nous-mêmes !
 

En fait, on est en train de se tirer une balle dans le pied, de se suicider, de se faire hara-kiri. C’est une Troisième Guerre mondiale (aux allures de guerre civile atomisée dans chaque pays, en particulier les pays occidentaux) qui est en train d’être enclenchée. Je ne le souhaite pas, mais je m’attends à voir dans les jours qui viennent des attentats d’une ampleur inédite sur notre territoire.
 
 
 

N.B. : Mon coloc marocain musulman Abdel, ce matin, au p’tit dej : « Tu sais qui c’est, DAESH? Moi, je ne l’ai jamais vu. Jamais rencontré. » Hamas, Daesh… des fantômes (extériorisés à nous-mêmes), des ennemis diabolisés construits de toutes pièces pour ne pas voir que ce sont nos propres reflets dans le miroir qu’on ne veut pas s’attribuer.

Comprendre le conflit israélo-palestinien

 

Tant qu’on en reste à une lecture bassement politique, matérielle et humaine du conflit israélo-palestinien, et qu’on ne comprend pas que les êtres humains ne se disputent pas une terre mais bel et bien Dieu, on passe à côté de ce qui est en train de se passer à Jérusalem (et tout autour : Israël, Liban, Iran). Ce n’est pas principalement l’occupation d’un territoire qui pose problème. C’est la main mise sur Dieu qui est visée.
 
 
 

N.B. : La première lecture d’aujourd’hui à la messe tombait pile poil sur la situation actuelle à Jérusalem : Is 5, 1-7. C’est d’ailleurs moi qui l’ai lue à Saint Roch… mais comme c’était un curé tradi en soutane et dentelles qui célébrait – un homme triste, rigide et complètement déconnecté du réel -, il n’a même pas fait mention de l’actualité criante des textes du jour avec Israël : lamentable.

Injecté = bluetoothé

 

Cette semaine, j’ai rencontré en vrai un gars qui s’est fait injecter (le pseudo « vaccin » contre la COVID), et qui a réellement fait le test, juste après l’injection, de coller son téléphone portable à l’endroit où il a été piqué… et le portable tenait tout seul. Comme aimanté ! C’est pas des blagues.
 

En fait, les gens qui ont, par naïveté, accepté cette injection sont bel et bien « bluetoothés », pistables/traçables par les objets connectés, avec le graphène qui leur a été inoculé. Il faut qu’ils en aient conscience. Cette merde est une chaîne. Ni plus ni moins.

Christine Lagarde parle de la Bête au Bloomberg


 

Très intéressant: Christine Lagarde qui dit « Inflation is the Beast » au Congrès Bloomberg… La Bête blessée de l’Apocalypse (Ap 13, 3) serait-elle l’économie mondiale qui, en se digitalisant par l’électrique et la Marque de la Bête,se relèvera et suscitera l’admiration de tous ?

L’Antéchrist s’appuiera et dézinguera la bêtise de l’antifascisme pour s’imposer

Dans sa stratégie d’Unité internationale, je pense que l’Antéchrist surfera sur la vague de la réfutation de l’antifascisme (par exemple, le rejet des gens d’extrême droite par les gauchistes), et plus profondément, sur la vague de l’ouverture rassemblante (je n’ai pas dit le « pardon ») à tout le monde, à plus forte raison aux « ennemis », ou en tout cas à ceux que la plupart des organisateurs des débats publics a bêtement et idéologiquement refusé de rencontrer et d’écouter. C’est ce qu’a fait récemment par exemple le journaliste beau gosse Hugo Clément (au nom très antéchristique, puisque je pense que la signature maçonnique et antéchristique par excellence est le double prénom), qui va débattre « écologie » devant Jordan Bardella et dans une table ronde organisée par le RN (Rassemblement National), « l’Antre du diaaable » aux yeux des médias mainstream, en dénonçant ensuite la partialité de « la gauche ». Et ce pied-de-nez à l’antifascisme gauchiste va marcher mondialement. Puisque l’antifascisme, par sa stupidité objective (simplisme manichéen), et son mimétisme de ce qu’il dénonce (« l’anti » fonctionne toujours comme un miroir quand on ne s’inclut pas dans ce que l’on dénonce), est une ambulance sur laquelle il est facile de tirer, un faux héros qui se torpille lui-même et qu’il est facile de démasquer. L’Antéchrist n’aura par conséquent aucun mal à s’en prendre à celui-ci pour ensuite s’imposer en grand Messie réconciliateur et unificateur du Monde, accueillant tout le monde. A fortiori parce que la gauche ou bien la laïcité a été décorrelée et dépersonnifiée du Christ (alors que la gauche et/ou la laïcité sont Jésus en personne).
 

Les églises actuelles ne sont plus gardées

Je reviens de la messe de midi à saint Médard (Paris). Et j’ai été témoin d’une scène qui m’a choqué autant qu’inquiété/attristé pour l’Église, car cette dernière n’est plus tellement gardée par ceux-là même qui la fréquentent. Je me trouvais assis dans la partie arrière de l’assemblée (mais toujours dans la nef centrale), et à la moitié de la célébration, un homme noir, trentenaire, typé migrant, a débarqué pour déposer quelque chose dans une des petites chapelles collatérales (la plus proche de moi), puis est reparti comme si de rien n’était. Tous mes voisins directs l’ont vu comme moi, et semblaient conscients que quelque chose d’anormal se tramait. Avant d’aller voir par moi-même ce qu’il avait planqué dans la chapelle, j’ai attendu la toute fin de la messe pour vérifier si les 4 autres témoins allaient eux aussi réagir et s’inquiéter de l’intrusion. Mais que dalle ! Il y avait une paroissienne d’une soixantaine d’années ; un jeune père de famille avec son jeune fils, avec sa femme. Ils se sont lâchement barrés sans rien signaler. Le mec, il aurait pu planquer une caméra, une arme, une bombe, qu’ils n’auraient pas bougé le petit doigt ! Cette peur, cette lâcheté, ce laisser-faire, montrent qu’aujourd’hui une très grande majorité des paroissiens vient en égoïste, en consumériste, et n’en a absolument rien à foutre de l’Église. Et si celle-ci est attaquée, ils laisseront faire ; ils ne se lèveront pas pour la défendre. Croyez-moi : ça n’arriverait pas dans une mosquée ! Ça m’a scié.
 

À l’issue de la célébration, je suis allé voir ce que le gars avait planqué dans la chapelle attenante : au coin d’un autel collé au mur, il y avait un sac avec des petites boîtes dedans. Je n’ai rien touché . Et au moment d’aller trouver un responsable, je vois l’étranger revenir et se munir de deux chaises liées pour les transporter vers la chapelle, sans doute pour les utiliser comme paravent pour camoufler son trafic. Je vais lui demander ce qu’il fabrique. Tout gêné, il me dit que c’est « de la nourriture pour sa soeur ». Je lui rétorque : « Non. On n’entrepose pas de nourriture dans une église. Je vais prévenir le prêtre. » Il commence à grommeler. Je vais voir direct le père Alexis Bacquet qui discutait avec des paroissiens dans le fond de l’église. Ce dernier m’a remercié de l’avoir prévenu, et m’a dit qu’il irait vérifier si ladite chapelle ne s’était pas transformée en probable entrepôt de drogues. J’espère juste qu’il ne s’est pas fait casser la gueule.
 

En tout cas, l’église dans laquelle on rentre comme dans un moulin, c’est flippant. Plus que l’agent extérieur, c’est surtout l’inertie des agents intérieurs qui m’inquiète. Bien sûr, je ne réclame surtout pas de surveillance policière, et encore moins technologique (caméras, alarmes). Mais juste, déjà, une surveillance humaine minimale et normale. Et pas seulement celle d’un sacristain/vigile. Une veille collective et communautaire non-officielle. Le problème, c’est que maintenant, j’ai l’impression que les paroissiens 2.0 ou covidistes n’investissent plus leurs lieux de culte, ne les habitent plus. Ils sont là sans être là. Et les infiltrations extérieures, ils n’en ont rien à foutre. Ça, c’est peut-être plus violent encore que les dangers extérieurs.

Le veuvage ou le deuil comme cache (de Noël) systématique des divorces ou de l’adultère dans les téléfilms


 

C’est hallucinant comme dans les téléfilms de Noël nord-américains actuels (et croyez-moi, je commence à devenir un spécialiste du genre !) les personnages principaux de l’histoire d’amour centrale sont soit célibataires (ou fraîchement et purement monogames) soit, quand ils ont un enfant d’une précédente union, veufs (leur conjoint ou leur conjointe est forcément mort brutalement d’une maladie ou d’un accident). Jamais de divorcés ni d’adultères ni d’« amoureux de deux personnes en même temps » (« polyamoureux ») ni de géniteurs avec leur ancienne moitié vivante.
 

Alors que dans la réalité, c’est tout le contraire : très rares sont les célibataires vierges de tout passé adultère. Et sur le marché amoureux, on ne trouve précisément que des « fins de série » ou « déjà utilisés sexuellement/sentimentalement/procréativement », ou des divorcés, ou des « parents seuls » (dont l’autre géniteur vit encore), ou des gens « remariables », ou des collectionneurs d’histoires amoureuses plus ou moins éphémères. En fait, notre époque rentre dans un total déni de l’adultère ou du divorce, déni justifié par la mort accidentelle ou brutale ou de maladie fatale. Ça tombe comme un cheveu sur la soupe. Tout le monde est incroyablement disponible et immaculé comme des anges ! Interdit de parler du divorce ou de l’adultère tellement ils sont communément pratiqués dans la vie réelle ! Puritanisme frisant la mauvaise foi et l’hypocrisie ! Je ne suis ni divorcé ni séparé ni un libertin ni un pécheur, et n’ai pas été quitté : je suis juste un cœur brisé/esseulé parce que VEUF ! (Mais bien sûr…). Pratiques, le veuvage ou la mort, pour maquiller le péché ! On joue les endeuillés !
 

N.B. : Voir l’autre article sur le sujet.

Les nations exclues de l’Eurovision


 

On nous l’annonce comme une « grande nouvelle » (alors que c’est hyper inquiétant symboliquement et spatialement parlant, étant donné que les frontières nationales des peuples sont abolies au profit de l’individualisme de masse) : le concours Eurovision de la chanson sera en 2023 soumis intégralement au vote du public « Citoyens du Monde », et non plus à celui des comités d’experts artistiques nationaux.
 

Concrètement, ça veut dire quoi ? Que l’Europe devient, comme l’avait prophétisé Soloviev, les « États-Unis d’Europe » : une sorte de continent-Monde multinational où chaque nation n’existe plus que pour le folklore (le pain et les jeux : chanson + foot. Le reste – la langue territoriale, les monuments, les chefs d’État, les institutions locales, le pouvoir décisionnel d’équipe, la Foi… – est effacé, au profit de l’individu digitalisé invisible et artificiellement mondialisé). Chaque État est désaisi de sa souveraineté nationale, de ses institutions décisionnaires. On n’a plus droit qu’à des grands ensembles « géographiques » de pouvoir, liquides et flous : en gros, les 10 royautés artificielles de la Fin des Temps décrites par saint Jean dans le livre de l’Apocalypse. Et les médias mainstream (même CNews) ne s’alarment pas de cette horreur qu’est la démocratie.