Le Loch Ness s’invite à la Conférence des Évêques de France

La Bête (Loch Ness en ouverture), le tissu (« voilure »), la construction, l’alchimie et le moteur (à essence), les cubes (Mgr Descubes), la transparence et la franchise, etc. Cet article de Claire Lesegretain dans La Croix est magique. À part ça, la Conférence des Évêques de France n’est pas du tout vérolée par la Franc-Maçonnerie. Ni le journalisme catholique… 😂
 

Le spectacle Madame de Florence Foresti célèbre la Bête de l’Apocalypse ciselée par la Franc-Maçonnerie

Incroyable mais vrai ! Dans cet article « Le Coronavirus, c’est la fête à la Bête, en fait ! » que j’ai écrit cet après-midi, j’explique que la Bête luciférienne de l’Apocalypse s’appuie principalement sur 3 matières énergétiques pour asseoir son pouvoir sur le Monde actuel – l’or, l’électricité et le soleil (héliocentrisme) – en présentant ces dernières comme des dieux naturels (je vous renvoie au chapitre 2 de mon livre Homo-Bobo-Apo).
 

Et ce soir, pour me détendre de cette première journée de confinement total, j’ai regardé pour la première fois sur le site de TF1 le spectacle de Florence Foresti, Madame (que j’ai trouvé assez indigent, au passage). Et j’y ai retrouvé exactement ce que je dis sur la Bête et ses supports physiques :
 

 

– Tenez-vous bien : dès son apparition sur scène, dans la chorégraphie, l’humoriste fait lever la lumière électrique, commande aux spots et les accompagne dans un mouvement ascensionnel commun.
 

 

– Ensuite la première réplique de son spectacle est héliocentrique (« hélios », c’est le soleil en grec ; et l’héliocentrisme est le culte du soleil) et bestiale : « Calmez-vous. Je termine ma salutation au Soleil. Le chien tête en haut ! Le chien tête en bas ! ». Mais elle est également maçonnique. « Ce qui est en bas est en haut » dit la formule consacrée de l’analogie moniste appliquée à l’espace, que l’on retrouve dans la Table d’Émeraude (texte fondateur des francs-maçons) mais également dans l’enchâssement de l’équerre et du compas (typique de la Franc-Maçonnerie). Sans compter que Foresti prend une pose de triangle ou d’équerre…
 

 

– Au milieu du spectacle, Foresti évoque l’or et regrette de ne pas attirer l’idolâtrie aurique mondiale qui aurait fait d’elle une grande égérie ou Muse : « Je n’inspire pas l’or… Je ne suis pas une femme à bijoux. ».
 

– Enfin, la réplique finale de son spectacle bobo misanthrope caractérisé par la jalousie, est à l’image de sa première vanne héliocentrico-bestiale : « Qui est-ce qui a dit que tu ne pouvais pas viser les étoiles ? … On relève le museau et on se fait appeler ‘Madame’. »
 

– Dernier détail : à un moment, l’éclairage scénique dessine un « W » cubique derrière l’humoriste. Là encore, c’est une des lettres de la Bête (c.f. mon article sur l’alphabet antéchristique).
 

 
 

Voilà. La Nouvelle Religion mondiale est aurique, électrocentrée et héliocentrique. Bref : bobo. (Et ne vous étonnez pas que ce spectacle ait été tournée à Boboland : Lyon. Le paradis de la bière… et des francs-maçons).

Le Coronavirus, c’est la fête à la Bête, en fait !

En y réfléchissant bien, la crise sanitaire du Coronavirus (vilaine bêbête invisible à l’oeil nu) laisse la part belle à la Bête de l’Apocalypse (dont les supports matériels divinisés sont principalement l’or, l’électricité et le soleil). C’est sa fête. Elle est même mise au-dessus de l’Humain ! Pendant le confinement, les animaux et leurs accompagnateurs sont mieux traités que les Hommes. Et vous allez voir que prochainement, le cours de l’or, la consommation d’électricité et d’Internet, et la course au soleil, vont grimper en flèche.
 

 

 

N.B. : Voir l’article suivant sur la même thématique.

Enfants, premiers dans le coeur des parents

 

J’ai la chance de faire partie de ces enfants dont le papa ou la maman a toujours fait passer son bien propre bien après le sien. En effet, mes parents sont des gens qui par exemple se sont patiemment levés dans la nuit quand j’étais bébé (et sans rechigner), qui se sont occupés de moi quand j’étais malade, qui ont joué avec moi et m’ont appris des choses, qui plus tard se sont saignés pour financer les études qu’ils auraient pourtant rêvé de faire à ma place, qui aujourd’hui s’enthousiasment de mes visites et espèrent qu’elles se renouvellent à l’infini et au plus vite, qui se font (encore!^^) un sang d’encre et pleurent secrètement quand je les abandonne, qui sont toujours là pour moi (sans pour autant me fliquer, ni violer mon intimité, ni me faire du chantage aux sentiments).

 

Mon papa et ma maman ne m’ont jamais fait sentir que j’étais une gêne ou un poids pour eux. Au contraire : ils sont fiers de moi comme je suis fier d’eux. Je ne les ennuie pas du tout. Ils me donnent tout… et même ce qu’ils n’ont pas ! Ils ont toujours été prêts à sacrifier la dernière part de gâteau pour me la réserver, à aller me chercher où que je sois et jusqu’au bout de la nuit, à m’accueillir à bras ouverts à n’importe quel moment (même le moins pratique ou idéal pour eux). Ils sont prêts à mourir à ma place s’il le faut (et en parlant de mort, d’ailleurs, ils ne se forcent pas à penser que le pire drame dans leur vie serait qu’un de leurs enfants parte avant eux).

 

Ces marques de dévouement sont naturelles, évidentes pour eux. Ils ne se posent même pas la question de faire autrement. Mon bonheur fait le leur et passe avant le leur. Ils ne comptabilisent pas leurs efforts. C’est du pur don gratuit, sans rien attendre en retour, et sans recherche de possession ou de contrôle, sans dette par derrière.

 

Oui. Je mesure la chance d’avoir des parents viscéralement aimants et tout donnés.

 

Et je sais qu’à ce niveau-là, nous, humains, ne sommes pas tous égaux. Certains enfants ne sont pas assez aimés de leurs parents, ne sont pas leur priorité. Voire ces derniers leur font sentir qu’ils sont le boulet ou le drame de leur vie. J’ai connu un gars homo (qui s’appelle Philippe, comme moi, d’ailleurs) que l’abandon et la pingrerie parentale plongeaient dans des abysses de tristesse et même des pensées suicidaires. Ça pouvait se cristalliser sur des apparents « détails » : ses parents – pourtant de classe moyenne – partaient en vacances sans lui et le laissaient seul dans la maison familiale avec le chien, ils ne faisaient même pas les courses pour lui et ne lui remplissaient même pas le frigo, ils ne se souciaient pas de savoir s’il manquait de quelque chose, ils ne l’appelaient jamais par téléphone, ils comptabilisaient leurs moindres efforts, ils lui préféraient largement son frère aîné, etc. Et même si Philippe, cyniquement, disait qu’il s’en foutait et qu’il s’était habitué à cette maltraitance affective, je voyais bien que son coeur était profondément meurtri, et que le pauvre fils délaissé se laissait mourir comme ses parents le laissaient mourir.

 

C’est existentiel : nous, enfants, avons besoin d’être les préférés de nos parents. Les premiers. C’est ainsi. Non par égotisme mais parce que la place de premiers nous revient DE FAIT. Et je ressens une profonde empathie pour tous les enfants qui n’ont pas été aimés, élevés et accompagnés dans l’Amour parental. Qui n’ont pas été les rois de leurs parents.

 

Et pour conclure cette petite pensée libre du matin par une note d’Espérance, j’ai envie de citer cette phrase de Thierry Bizot (homme de télé qui s’est converti au catholicisme sur le tard) : en connaissant l’Église et l’existence de Dieu, on découvre ses deuxièmes parents. Et que si on a été humainement et terrestrement orphelin, la Foi nous donne à tous d’autres parents (non moins réels et non-opposés à nos parents géniteurs), nous restaure dans une nouvelle adoption et filiation. Croire en Dieu le Père, c’est ne plus jamais se sentir orphelin, abandonné, seul ni mal-aimé.

La stupidité et l’homophobie des pro-Vie

La stupidité et l’homophobie des pro-Vie illustrées en une seule image (puisque les anti-Vie sont aussi pro-Vie) (ici, en Colombie : l’écriteau déclare « L’unique chose utile, c’est la Vie » ; et en-dessous : « Stoppons la violence contre les lesbiennes, contre les travestis, contre les gays, contre les bisexuels »)
 

La estupidez y la homofobia de los pro-Vida en una sola imagen (puesto que los anti-Vida son pro-Vida también) :
 

Expo El Greco au Grand Palais : avant-goût du Gouvernement Mondial

De retour de l’exposition El Greco au Grand Palais de Paris. Invité par une amie. Sans faire mon conspi, j’ai vu de manière très marquée dans l’oeuvre du peintre du Siècle d’Or les fondements du Gouvernement Mondial actuel et de la Nouvelle Religion mondiale, fondée sur 4 matérialités prétendument divines : le Feu, l’Or, le Soleil et l’Électricité. D’ailleurs, les tableaux d’El Greco sont des préfigurations des plateaux de théâtre et de cinéma éclairés aux spots. Enfin, un autre détail a piqué ma curiosité : ce sont les titres choisis par les exposants pour illustrer les toiles. Que du jargon franc-maçon : « Orient », « Atelier », « Temple », « Feux », etc. Bref : maintenant, nous baignons même culturellement dans une marmite maçonnique sans même nous en rendre compte.
 

Une nouvelle manif pour rien


 

Dimanche prochain (19 janvier 2020), Manifestation anti-PMA et anti-GPA de La Manif Pour Tous stupide et inefficace. Puisque toutes les lois de bio-éthiques transhumanistes que les pro-Vie dénoncent ont pour pilier sentimental l’homosexualité, et qu’ils ne parlent que de l’enfant ou des conséquences de ces lois sur la filiation. Ils ne m’ont pas écouté, et continuent de prendre les problèmes par le mauvais bout. Lamentable.

Le mythe de la baisse des retraites et des salaires (expliqué brillamment par Franck Lepage)

Excellent cours d’économie sur les retraites (vidéo de Gaël Tanguy et Franck Lepage qui n’a pas pris une ride), et qui soulève la question de la future imposition mondiale du salaire universel (la puce électro) qui sera présenté comme la grande richesse « répartie » en dehors de tout clivage générationnel ou de classes.
 

 
#RFID #BLOCKCHAIN #RETRAITE

La Marque de la Bête au front


 

Il faut voir la Marque de la Bête (sur le front ou sur la main) qu’a vue saint Jean dans l’Apocalypse comme un gain gnostique de science et d’intelligence. Comme ces neurones numériques qui entendent augmenter les capacités cérébrales.