Critique du documentaire d’ARTE « Célibat des prêtres : le calvaire de l’Église »


 

Une amie m’envoie ce documentaire d’ARTE (« Célibat des prêtres : le calvaire de l’Église ») présentant le célibat sacerdotal (et l’obligation faite aux prêtres de rester seuls) comme un désastre humanitaire. Je vous conseille de le regarder, en particulier pour comprendre – même si c’est douloureux – le délitement de l’Église Catholique, notamment en Afrique.
 

Ce genre de reportages (évidemment très orientés, puisqu’ils ne parlent jamais de Jésus, et ne donnent jamais la parole aux nombreux prêtres vraiment heureux et épanouis dans leur célibat), montrant les poubelles de l’Église, va devenir monnaie courante dans les médias mainstream, et arrivent comme un raz-de-marée contre lequel les prêtres réels ne pourront rien : ils convainquent davantage l’opinion publique que les témoignages isolés – et techniquement moins soutenus – des prêtres heureux dans la chasteté s’exprimant sur leur petite chaîne Youtube ou même chez Bourdin.
 

Personnellement, ce que j’observe et qui m’interpelle le plus dans ces documentaires anticléricaux, c’est leur hypocrisie (alors même qu’ils prétendent dénoncer celle des autres : c’est ça l’ironie sidérante). Et cette hypocrisie s’appelle ici « CÉLIBAT ». En effet, le célibat (sacerdotal) – à l’instar de la « pédophilie » (sacerdotale) – sert à la fois de cache-sexe et d’alibi pour hypocritement traiter et justifier l’homosexualité (sacerdotale) : thème qui, vous le verrez dans ce documentaire, s’invite étonnamment souvent. Les concepteurs de ces reportages grand public cacheront leurs véritables intentions gays friendly, et détourneront l’attention sur d’autres marécages ayant l’air plus importants qu’elles (le célibat, l’égalité homme/femme, les abus sexuels, la hiérarchie et les abus de pouvoir, le faux conflit entre conservatisme et progressisme, etc.) et dans lesquels le clergé et les profanes s’embourberont aisément. Plan parfait de démantèlement de l’Église !

Chiffres officiels des effets secondaires du pseudo « vaccin » anti-COVID aux États-Unis

 

Non non, le « vaccin » anti-COVID n’est PAS DU TOUT un poison déguisé en remède, n’a que des effets secondaires « secondaires » et marginaux, et n’est pas une tentative de stérilisation et de génocide à échelle mondiale. PAS DU TOUT. Et ceux qui, comme moi, ont refusé cette merde, sont des dangereux et contagieux « complotistes » responsables de la « pandémie ». HAHA.
 

Voici les données gouvernementales (officielles! Lien 1 ; Lien 2) actuelles post injections COVID aux USA, avec tout de même (en moins de 2 ans) :
 
30 479 DÉCÈS.
203 792 visites chez le Médecin.
4 963 fausses couches
8 915 Thrombocytopénie/faible taux de plaquettes
174 371 hospitalisations
9 958 anaphylaxie
16 337 crises cardiaques
33 705 vie en danger
134 245 soins URGENTS
15 928 paralysie de bell
51 722 Myocardite/Péricardite
44 510 Réaction allergique sévère
56 994 handicapés permanents
14 539 zona
 

Merci le Connard ( = Macron). Merci à tous les hypocondriaques-flics et à la stigmatisation sociale qu’ont exercé 80% des Français sur les non « vaccinés ». Bravo à vous ! En temps de nazisme, je ne me demande même pas dans quel camp vous vous seriez rangés…

Merde alors !


 

L’air de rien, notre Monde est petit à petit en train de nier la MERDE, c’est-à-dire la mort, le mal, les fautes, la colère, les péchés, la violence, la souffrance, la vieillesse, le handicap, les guerres, dans nos vies. Attitude kitsch par excellence : Milan Kundera écrivait, dans L’Insoutenable légèreté de l’être, que « le kitsch est le paravent qui dissimule la merde ».
 

Je regarde cet extrait de Florence Foresti imitant Adjani, et je constate que la police puritaine des réseaux sociaux a discrètement gommé le moment où elle prononce le mot « merde » (c.f. le remake du « Père Noël est une ordure »). Les gros mots, et même les insultes, qui nous inscrivent malgré tout dans notre Humanité (pécheresse), sont de plus en plus supprimés par le Gouvernement Mondial et par la Bête antéchristique qui souhaite en garder le monopole (Dans le livre de l’Apocalypse, il est dit que la Bête portera seule des couronnes, des sceptres et des titres blasphématoires : le reste du Monde sera réduit à l’esclavage policé et aseptisé de la « paix », de l’ « équilibre » et de la « sécurité ».)
 

Merde alors!
 
 
 

N.B. : Voici la version en un peu moins censurée.

La corruption généralisée des médias « catholiques » actuels à l’esprit du Monde : le cas du journaleux Xavier Sartre sur Radio Vatican

Je vous présente un koala… pardon, un chroniqueur de radio chrétienne


 

Je viens d’écouter par hasard le flash info de Radio Vatican francophone « animé » par un illustre inconnu de Radio France : un dénommé Xavier Sartre. Et au-delà du contenu de ce flash (qui, en intentions, se veut réaliste, scientifique, alarmiste mais sérieux, et qui en réalité est mensonger, terroriste, indigent et limite absurde : c’est du recrachage de dépêches AFP opéré par un type qui n’est pas sur le terrain et qui ne sait pas de quoi il parle), j’ai été frappé par la forme, c’est-à-dire par le formatage (mondialiste, technocratique et bestial à la fois) d’une antenne qui pourtant est censée émaner du coeur de l’Église Catholique et du pape. Pauvre pape françois : il est désormais encerclé par les loups (…et les koalas).
 

Ces journaleux – je prends Xavier Sartre car c’est un cas d’école mais j’aurais tout aussi bien pu parler de Marie-Ange de Montesquieu et Louis Daufresne sur Radio Notre-Drame, d’Antoine Pasquier de Famille Païenne, ou bien de n’importe quel autre chroniqueur de radio chrétienne d’aujourd’hui (ce sont tous les mêmes lâches et profiteurs) – ont pour particularité de :
 

1 – être des imposteurs dont on n’identifie quasiment pas la Foi (car ils ont été recrutés par les diocèses plus pour leur compétences techniques que pour leur adhésion de coeur au Christ et à l’Église : et le pire, c’est qu’on peut mettre dans le lot même la plupart des curés médiatiques et les bons pères de famille qui vont tous les dimanches à la messe : C.V. catho parfait pour faire couverture et illusion séductrice). D’ailleurs, ils ne parlent jamais de Jésus : les rares fois où ils se risquent à parler « catho » (pour justifier un peu leur statut de journaliste chrétien), ils remplacent Jésus par le Pape, ou bien la Foi par les affaires burocratiques (croustillantes) de l’Église-Institution; et les prêtres fonctionnarisés qui sont chargés de parler explicitement de Jésus évoquent plus un « Jésus pour les enfants » ou développe une théologie positiviste qui va très rarement dénoncer les maux de notre temps.
 

2 – être des maîtres-chanteurs : tout pendant qu’ils répètent les poncifs de l’actualité mondaine catastrophiste ou folkloriste bobo (« on va raconter les jolies traditions chrétiennes : du côté de chez vous »), ils le font en chantonnant. Xavier Sartre, c’est tout à fait ça : la respiration travaillée, la ponctuation, la même intonation pour finir les phrases et leur donner un hypocrite dramatisme de neutralité. Juste horrible. L’humoriste Alex Lutz a parfaitement croqué l’insupportable ritournelle journalistique mainstream qui a malheureusement envahi les médias catholiques (qui ne sont plus catholiques et qui sont pourris jusqu’à la moelle). Et bien entendu, tout le monde s’est habitué à se faire bercer par ces maîtres-chanteurs, et personne ne les dénonce. Ces imposteurs ont le champ libre. Ils ont en plus pour particularité de ne quasiment pas se montrer (ils sont planqués derrière leur micro), de parler derrière un masque (ou un profil vide), de ne pas prendre de risques, de s’adresser à un public affaibli et muselé (en gros = des vieux et des pieux). Comme ça, ils deviennent des indéboulonnables intouchables (ça fait parfois plus de 20 ans qu’ils sont là…), invisibles et inattaquables. Aucun évêque ne prendra son courage à deux mains pour les virer à bras raccourcis et faire un casting digne de l’annonce de Jésus. Aucun auditeur (excepté un connard comme moi) n’ira dénoncer les malversations, le petit commerce et la corruption de ces planqués de l’Église qui ne laisseront jamais leur nom dans l’Histoire du journalisme ni même de leur organe de presse.
 

3 – être des profiteurs et des parasites de l’Église (les fameux marchands du Temple virés par Jésus) : ils se font du fric sur le dos de Dieu, sont même prêts à dépouiller des veuves et des vieillards désargentés pour consolider leur propre stabilité de carrière. Ils pullulent en ce moment sur les chaînes catholiques et les réseaux sociaux, font leur beurre sous l’étendard de la solidarité, de l’écologie, et du Vatican, pensent que leur statut de petits salariés voire de bénévoles « au SERVICE » les blanchit aux yeux du Monde. En réalité, qu’ils se détrompent : même un bénévole peut être un arnaqueur-emmerdeur complètement intéressé car il occupe un poste qui pourrait être pris par quelqu’un de plus utile, de plus intéressant et de largement plus prophétique que lui, et parce qu’il tire mine de rien beaucoup d’intérêt à être exposé et occupé, même si c’est en mode « espion » ou « voix-off des mamies » et « radios catho régionale/marginale » : l’influence, la visibilité, le pouvoir, la carrière, mine de rien, ça donne un petit prestige et une importance mondaine autre que l’argent, mais tout aussi addictifs. C’est con : moi je croyais que l’annonce de l’Évangile, plutôt que de faire gagner sa vie à quelqu’un, ça la lui coûtait … Alors bien sûr, ces grippe-sous et grippe-notoriété me diront que leur activité ne fait pas d’eux des stars et ne leur fait pas gagner des mille et des cents: mais c’est toujours ça de pris pour l’ego (j’ai été longtemps chroniqueur bénévole en radio donc je sais de quoi je parle) et ça nourrit quand même son homme et fait bouillir la marmite de la petite famille.
 
 

J’ai bien conscience que mon billet d’humeur n’aura aucune force de frappe (les évêques et les cardinaux actuels étant dans leur immense majorité tout aussi corrompus au pouvoir, à l’argent et à la sexualité, que les journalistes « chrétiens » actuellement en poste…). Mais je tenais quand même à leur dire que leur business et leur arrivisme ne passaient pas tout à fait inaperçus. Little Spider is watching you !

Une amie m’a montré les sites de rencontres hétéros : c’est à pleurer

Une amie m’a montré sur son portable les profils des hommes sur l’application Tinder : c’est à pleurer. Et je ne parle même pas de ceux qui assument de chercher des plans cul, mais bien des annonces des mecs hétéros qui précisément cherchent « du sérieux ». Sans rire, leurs seuls combats et centres d’intérêt dans leur vie, se résument à 4 mots : cinéma / sport / cuisine / voyages. Rien d’autre. Ah si : moto ou bagnole et bière. C’est ça, les activités et les raisons de vivre de 90 % des hommes de 2022. C’est la grosse pitié. C’est le boboïsme dans toute sa splendeur, basé sur la recherche du bien-être et le culte du corps et de la Nature. Zéro spiritualité et zéro croyance en Jésus et au Père Créateur. La totale misère. Je comprends le désarroi des femmes d’aujourd’hui.

Je déménage en Caroline du Nord (Diocèse de Raleigh) !

Wow ! Je suis époustouflé par le diocèse nord-américain de Raleigh que je viens de visiter pendant quelques heures virtuellement. Une vitalité (des groupes de jeunes adultes à gogo, par exemple), une proposition, une diversité, une jeunesse, des croyants et des prêtres visiblement équilibrés, un ancrage dans la Foi et dans l’Église et dans le Monde, des communautés joyeuses… Mazette : c’est magnifique ! Si l’Église catholique en France se casse un jour la gueule, je déménage en Caroline du Nord aux States, je vous le dis !^^
 

 

Et pourtant, vous savez, j’en vois, des diocèses de partout dans le Monde (anglophones, hispanophones, germanophones, italophones, francophones)… et qui, pour la plupart, puent tellement la mort et la corruption matérialiste et idéologique (soutien à l’Ukraine, aux « vaccins » contre le COVID et aux mesures sanitaires, parfois gays friendly, se revendiquant « Église verte », ou bien tacitement « Église pédophile » – il y a l’onglet de délation et de dénonciation des « abus sexuels » à l’entrée -, etc.) que c’est à se barrer de l’Église en courant.
 

Mais le diocèse de Raleigh, de ce que j’en vois, fait exception… ça rassure un peu sur l’Église Universelle !
 

Le péché originel, ce n’est pas que manger la pomme, mais vouloir être la pomme

Il m’est d’avis que le péché originel, ce n’est pas que la gourmandise, mais le naturalisme : le fait que l’homme et la femme préfèrent s’identifier à un fruit (la pomme en l’occurrence ; et « adorer » signifie « vouloir être comme ») plutôt qu’à leur divinité-humanité en Jésus-Christ. La publicité de Yoplait illustre tout à fait cette adoration/idolâtrie peccamineuse de l’Humain pour les fruits et pour les abeilles (considérées par certains articles comme les êtres vivants les plus importants de la Planète : rien que ça !). La pomme comme miroir narcissique embellissant et divinisant, tendue par le serpent. Et les écologistes sautent les deux pieds joints dans le plan antéchristique et homicide « Tu es un fruit et ta reine c’est l’abeille ».
 

 

Le discours (nazi) d’investiture du Connard hier soir


 

Mots de conclusion du discours d’investiture du Connard hier soir : « Chacun d’entre nous compte plus que lui-même. »
 

Si ce n’est pas la phrase la plus communiste et la plus nazie qui soit, qu’est-ce que c’est? (Et c’est un expert des fascismes comme moi, qui a étudié le nazisme depuis 20 ans, qui vous le dit). #MacronDictateur
 

N.B. : Le Connard s’appuie beaucoup également sur la notion maçonnique de « Force » et d’« Unité. » que vous retrouvez dans mon Dictionnaire des Codes Apocalyptiques (et je vous renvoie en particulier au code « Vous »).