La députée lesbienne Laurence Vanceunbrock-Mialon et ses suiveurs n’ont que l’« hétérosexualité » en bouche pour justifier toutes les lois transhumanistes dites « de bioéthique » qu’ils veulent imposer à la France


 

Au nom d’une part de l’hétérosexualité (ils n’ont que ce mot-là à la bouche, finalement) et d’autre part au nom de l’Égalité (une égalité réelle, en plus, symboliquement parlant, entre hétérosexualité et homosexualité, puisque ce sont bien 2 orientations sexuelles prônant au fond la bisexualité), nos législateurs français sont en train en ce moment non pas de supprimer les pères (comme le prétendent faussement beaucoup de pro-Vie opposés à ladite « PMA – Procréation Médicalement Assistée – pour toutes » et au libre accès à la procréation pour les mères célibataires) mais de les transformer en option dans le processus de procréation et bien souvent d’éducation d’un enfant, et donc de supprimer la primauté du lien d’Amour entre les 2 parents biologiques, primauté pourtant indispensable pour le bonheur de tout être humain. Et cette « optionalisation » des pères engendre, pour ceux qui ne le savent pas, toutes les possibles dérives les plus hallucinantes : l’enfant-objet qu’on conçoit et achète, la justification de la transsexualité puis de l’accès de cette dernière à la procréation (ROPA), les eugénismes en tous genres (GPA – Gestation Pour Autrui -, bébé-médicament, l’embryon transgénique, les chimères animal-homme, l’absence du consentement du conjoint sur le don de gamètes, l’élargissement du diagnostic préimplantatoire aux maladies non héréditaires, etc.).
 

 

En réalité, la pierre angulaire de ces lois transhumanistes dites « de bioéthique », c’est l’hétérosexualité (qui se fait passer pour la différence des sexes afin de se supplanter à celle-ci). Même si personne ne le verra et ne le dénoncera, à part moi. Et le seul moyen de leur faire barrage, c’est de traiter précisément d’hétérosexualité et d’homosexualité, d’abord pour souligner leur égalité réelle, et ensuite pour dénoncer les pratiques aussi bien homos qu’hétéros. Chose que les opposants aux projets de loi ne feront jamais, car ils pensent que « l’homosexualité c’est pas le sujet », que « l’hétérosexualité c’est la différence des sexes », et que « les vrais enjeux c’est l’enfant, la famille et l’Humain ».