La preuve que le Concile Vatican II (1962-1965) de l’Église Catholique était vraiment inspiré et juste, c’est sa lucidité sur l’hétérosexualité, hétérosexualité que les pères synodaux ont dénoncée comme « perversion » et alignée à l’homosexualité

 

La preuve que Concile Vatican II (1962-1965) de l’Église Catholique était vraiment inspiré et juste, c’est sa lucidité sur l’hétérosexualité, hétérosexualité que les pères synodaux ont dénoncée comme « perversion » et alignée à l’homosexualité. Je découvre avec joie – même si je ne suis pas étonné dans le fond – le caractère profondément prophétique de ce Synode Vatican II rien qu’en apprenant, par la bouche de l’historien suisse Thierry Delessert (pourtant homo, pro-gays, et anticlérical), que dans les années 1970, les prêtres catholiques romains et les conseillers synodaux suisses mettaient exactement sur le même plan les « couples » homos et les « couples » hétéros. Ils avaient déjà tout à fait raison : l’homosexualité et l’hétérosexualité, il n’y en a pas une pour rattraper l’autre. « À leurs yeux, et dans les années septantes en Suisse, l’hétérosexualité, c’est une perversion, parce que c’est un homme et une femme qui ne veulent pas avoir d’enfant. » C’est tout à fait juste. L’hétérosexualité est bien un dévoiement du mariage d’amour sacré entre l’homme et la femme, et une perversion.